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La rage

 La maladie

La rage est une maladie virale toujours mortelle. Commune à l'homme et à de nombreuses espèces animales (c'est ce qu'on appelle une zoonose): tous les mammifères y sont sensibles. Elle est due à un virus peu résistant (facilement détruit par le savon), qui ne survit pas longtemps dans le milieu extérieur.

La répartition géographique

La rage est une maladie présente partout dans le monde (sauf sur le continent océanique).
En France, elle reste rare mais le risque existe toujours.

Le mode de transmission

Le virus est fortement concentré dans la salive des animaux porteurs.
La transmission de la maladie se fait principalement par morsure d'un animal porteur du virus, et cela, même avant qu'il n'ait des symptômes de la maladie. C'est la raison pour laquelle toute morsure doit être prise au sérieux, même si l'animal est apparemment sain (voir le paragraphe sur "Les animaux mordeurs").

 Les symptômes

Après la morsure, le virus migre dans le cerveau avant de rejoindre les glandes salivaires.
Cette migration, appelée incubation, est de durée très variable, selon l'espèce, le lieu de morsure, la souche de virus… et parfois très longue (de un mois à plusieurs années). Chez le chien, elle est en moyenne assez courte, de 15 à 60 jours, mais il y a toujours des exceptions.
C'est dans le cerveau que le virus se reproduit et fait des dégâts.
Les symptômes de la rage sont donc principalement nerveux: changements de comportement (agressivité, peur…), problèmes de déglutition, voix modifiée, salivation, paralysies, démangeaisons…
Mais de nombreux symptômes très variés sont possibles.
Il n'y a pas de traitement efficace: la mort est irrémédiable et survient en 4 à 5 jours après les premiers symptômes chez le chien.

 Le diagnostic

Il repose sur l'évolution des symptômes nerveux. C'est pourquoi il est interdit d'euthanasier un chien (ou un chat) qui a mordu un être humain avant un délai de quinze jours. Le garder en observation est le seul moyen de savoir s'il était vraiment malade ou s'il a pu transmettre la maladie.
Le diagnostic définitif devra être toutefois confirmé dans tous les cas par examen microscopique de coupes du cerveau et par inoculation à des cellules en culture dans des laboratoires habilités.

 Que faire si vous êtes en contact avec des animaux sauvages ?

Evitez le contact avec tout animal inconnu, en particulier dans les pays et départements à risque.
Après une morsure par un animal (sauvage ou domestique), lavez la plaie longuement (au moins 5 minutes) avec de l'eau savonneuse.
Un médecin d'un institut spécialisé pourra mettre en œuvre un sérum anti-rabique si nécessaire (voir plus loin).
Chez l'homme, la vaccination est fortement conseillée pour les populations à risques (vétérinaires, techniciens de laboratoires spécialisés, garde chasse…).

 La prévention pour le chien

La vaccination reste le moyen le plus sûr de prévenir la maladie chez le chien et d'en limiter l'extension. On peut la pratiquer dès l'âge de trois mois, c'est à dire au moment des rappels des autres vaccins. Elle consiste en une seule injection avec un rappel annuel. Elle est obligatoire dans certaines conditions (voir le chapitre législation).
Il faut aussi savoir que des campagnes de vaccination orale des renards ont été effectuées en France (lâchers d'appâts par hélicoptère), ce qui a fortement contribué à faire régresser la rage dans ces populations.

 La législation de la rage  

La gravité de la maladie et sa transmission possible à l'homme ont conduit à des mesures strictes.
La vaccination et le tatouage sont obligatoires :

    - Pour se rendre dans certains pays étrangers (notamment pour le Royaume-Uni ou une sérologie est indispensable), voir notre fiche "Levée de la quarantaine Britannique depuis le 28 Janvier 2000".

    - Pour l'introduction ou la réintroduction en France d'animaux provenant d'un pays non indemne de rage depuis plus de trois ans.

    - Dans certaines autres cas: animaux soumis à la loi sur les chiens dangereux.

 La France étant indemne de rage depuis 2001, l’obligation de vaccination antirabique des lévriers engagés dans les courses publiques et des carnivores domestiques dans les campings, centres de vacances, exposition ou tout lieu de rassemblement est supprimée. Il n’est plus nécessaire de vacciner contre la rage les chiens et chats voyageant en Corse, en départements d’Outre-Mer (Réunion, Martinique, Guadeloupe) hormis la Guyane.
Pour les pensions et chenils, s’adresser directement au professionnel.
On ne peut légalement vacciner que les animaux de plus de trois mois.
A l'issue de la première vaccination, un délai pour la validité de cette vaccination est nécessaire, il est maintenant de 21 jours après l'injection.
Le rappel a lieu tous les ans. En cas d'oubli du rappel, le protocole devra être repris depuis le début (vaccination valable 21 jours après).
Sachez que les certificats (roses et bleus) sont remplacés par des étiquettes qui seront collées sur le passeport de l’animal. En effet, depuis le 01 janvier 2008, tous les animaux vaccinés contre la rage devront posséder un passeport, qu’ils voyagent ou non. Ce passeport sera à la fois le support de l identification de votre animal et de la vignette du vaccin rabique autrefois apposé sur le certificat rose ou bleu.

 Les animaux mordeurs
Tout animal ayant mordu ou griffé une personne (ou un autre animal dans les départements déclarés infectés) doit être mis sous surveillance "chien mordeur". Cette surveillance a pour but d'éviter le développement de la maladie chez la personne mordue en s'assurant que l'animal ne présente pas de symptômes de rage dans les quinze jours suivant la morsure. Elle s'effectue chez un vétérinaire, à la diligence et aux frais du propriétaire du chien ou de son détenteur. Si l'animal ne possède pas de propriétaire, c'est la mairie qui le prend en charge par l'intermédiaire d'une fourrière. Elle consiste en trois visites chez le vétérinaire: la première au plus tôt après la morsure (moins de 24 heures), la seconde et la troisième respectivement 7 jours et 15 jours après.
La présentation chez un vétérinaire d'un chien mordeur est une obligation légale qui met en jeu la responsabilité pénale du propriétaire (amendes et peines de prison). Le propriétaire est tenu de présenter son animal aux rendez-vous fixés et de déclarer au plus vite la disparition des signes de maladie (ou la mort de l'animal le cas échéant), au vétérinaire et aux autorités publiques (services de police, mairie). Il ne peut se séparer de son animal sans l'autorisation du directeur départemental des services vétérinaires.
A la suite de chaque visite, le vétérinaire remet au propriétaire un certificat en trois exemplaires, attestant qu'il ne constate pas de symptômes de rage :

    - Un certificat pour la personne mordue ou propriétaire de l'animal mordu,

    - Un pour lui-même,

    - Un pour les services de police.

 A l'issue des visites :

    - Si l'animal est en vie et ne présente pas de symptômes, il y a impossibilité qu'il ait transmis la maladie suite à la morsure. La procédure est alors terminée (...et la personne mordue peut être rassurée!).

 

    - Si l'animal meurt ou présente des symptômes compatibles avec la rage durant les deux semaines, le médecin du centre anti-rabique pourra prendre la décision de faire un sérum anti-rabique au patient mordu.

 

    - Si l'animal meurt effectivement, il sera autopsié et des prélèvements seront envoyés au laboratoire afin d'avoir un diagnostic de certitude.

 

Conclusion

La rage est une maladie ancienne très connue, car elle peut toucher l'homme, et il n'existe aucun traitement.
Elle a sévi pendant des siècles en Europe et est toujours présente de nos jours dans certains pays (notamment en Afrique et en Asie), où des centaines de personnes meurent de la rage chaque année.
Depuis la découverte de la vaccination, et suite aux campagnes de vaccination des animaux de compagnie et des renards, la rage a disparu du territoire français.
Elle reste cependant encore une menace avec l'augmentation du nombre d'animaux qui voyagent en pays à risque.

C'est pourquoi nous vous conseillons vivement de vacciner votre chien contre la rage même si vous ne  voyagez pas avec votre animal.

 

 

 

 

 

La piroplasmose

La piroplasmose est l'une des maladies les plus fréquentes chez le chien, qui tue encore de nombreux chiens chaque année en France. La piroplasmose est une maladie qui détruit les globules rouges, elle est due à un parasite du sang, transmis par une morsure de tique. Le traitement est efficace à condition d'être mis en place à temps, mais les complications peuvent être graves.  

Quels sont les symptômes que l'on peut observer
Le chien est abattu, il refuse de se nourrir, vomit et présente une forte fièvre (souvent 40°C). Ses urines prennent une coloration anormale : orange, rouge, ou marron foncé. Mais même s'il manque seulement d'appétit dans les 4 à 8 jours qui suivent une sortie à la campagnere et paraît mou, n'hésitez pas à consulter votre vétérinaire car les symptômes ne sont pas toujours faciles à déceler. En effet, c'est une urgence et le traitement doit être mis en place le plus rapidement possible. Seul un vétérinaire peut faire un diagnostic de certitude : il prélève une goutte de sang et détecte la présence des parasites dans les globules rouges en examinant au microscope un étalement du sang.

Comment se transmet la piroplasmose
Seules les tiques peuvent transmettre cette maladie.
Afin de pouvoir aspirer le sang du chien, la tique injecte une salive anticoagulante qui contient les parasites de la piroplasmose. Une fois dans le sang ceux-ci pénètrent dans les globules rouges, s'y multiplient, et les font éclater. Il en résulte une anémie (manque de globules rouges), et une intoxication du foie et des reins par les déchets issus des globules rouges détruits.
Les chiens attrapent généralement les tiques dans les haies, les buissons, les broussailles ou l'herbe (voir notre Fiche Santé "Les tiques"). Même si les chiens de chasse et ceux qui vivent à l'extérieur sont les plus exposés, tous les chiens peuvent un jour ou l'autre contracter la maladie, d'où l'importance de faire vacciner votre chien.
Un chien atteint de piroplasmose n'est contagieux, ni pour les autres chiens, ni pour d'autres animaux, ni pour l'homme.

 Quel est le traitement de la piroplasmose
Le traitement est très efficace à condition d'être mis en place suffisamment rapidement. Il convient donc de bien surveiller l'apparition des symptômes décrits ci-dessus, et de se rendre rapidement chez un vétérinaire au moindre doute. Suivant le stade d'évolution de la maladie, le vétérinaire mettra en place un traitement sous forme :

  • d'injections qui permettent de détruire le parasite,
  • de perfusions, destinées à réhydrater l'animal et à lutter contre les complications hépatiques et rénales,
  • des transfusions pour compenser le manque de globules rouges.

Info Utile: le produit utilisé contre la piroplasmose peut être douloureux lors de l'injection, voire provoquer un ou deux vomissements. Ne vous inquiétez pas, c'est un effet normal qui ne dure pas.

 Comment prévenir la piroplasmose

  • Les anti-parasitaires
  • C'est la méthode la plus sûre pour constituer une réelle prévention contre la piroplasmose, le produit doit détruire la tique avant qu'elle n'ait le temps de piquer.
  • Il faut donc qu'elle s'intoxique au contact du poil, en quelques minutes.
  • Les produits qui répondent à ces critères sont : 

                    * Certains colliers, mais les colliers mixtes anti-tiques et anti-puces ne sont généralement pas très efficaces contre les tiques.

                    * Les pulvérisateurs : ils permettent de déposer un film protecteur sur l'ensemble du corps.

                    * Les pipettes agissent comme les pulvérisateurs, mais la répartition du produit sur l'ensemble du corps se fait toute seule en 24h. Attention toutes les pipettes anti-parasitaires ne sont pas efficaces contre les tiques.

 Ils doivent être systématiquement et régulièrement appliqués pendant les périodes à risque: c'est-à-dire au printemps de mars à juin, et à l'automne, de septembre à décembre.
Et cela même sur les animaux vaccinés.

Conclusion
La piroplasmose est une maladie commune en France, elle peut être grave et parfois mortelle. Même si le traitement est très efficace lorsqu'il est mis en oeuvre suffisamment rapidement, la maladie peut entraîner des séquelles au niveau rénal et hépatique.
Il est donc fortement conseillé de "prévenir plutôt que guérir". L'utilisation d'anti-parasitaires externes doit être systématique de mars à juin et de septembre à décembre.

 

 

La parvovirose canine

OU GASTRO-ENTERITE HEMORRAGIQUE

La parvovirose (ou gastro-entérite hémorragique) est une maladie virale du chien et des autres canidés (loup, renard…), très contagieuse et fréquemment mortelle. Elle est due au parvovirus canin (CPV). C'est un tout petit virus très résistant dans le milieu extérieur ainsi qu'à de nombreux désinfectants. La contagion se fait donc principalement dans le milieu extérieur souillé par les selles de chiens malades.
Les animaux atteints sont surtout les chiots, les chiens adultes non vaccinés et les chiens en collectivité (élevage).

Les symptômes

Chez les jeunes animaux, principales victimes de la maladie, les symptômes sont fulgurants : le chiot est atteint d'une diarrhée hémorragique (qui contient des caillots de sang) d'odeur nauséabonde caractéristique. Des vomissements sont également possibles.
Le chien présente de la fièvre, est très abattu et se déshydrate très rapidement.
le virus s'attaque également aux globules blancs du sang, ce qui entraîne une baisse des défenses de l'organisme et donc une sensibilité accrue aux autres infections notamment bactériennes.
Chez les chien adultes, les symptômes sont identiques mais en général moins marqués.

Le diagnostic

Il se fait sur la base des symptômes et sur leur évolution fulgurante. S'il le souhaite, le vétérinaire peut confirmer son diagnostic par:

       - un test de dépistage sérologique possible par prise de sang sur les animaux non vaccinés,

       - un test directement effectué sur les selles qui permet de mettre en évidence le virus.
On peut aussi parfois observer une baisse des globules blancs du sang.

 Le traitement et l'évolution 

Il nécessite toujours une hospitalisation avec des soins intensifs: mise sous perfusion, antibiotiques, anti-vomitifs, pansements digestifs…
La maladie est souvent rapidement mortelle chez les chiots, en deux à cinq jours.
Les adultes développent rarement une forme grave, mais nécessitent toujours un traitement attentif.

 La prévention

Il faut bien sûr éviter tout contact avec un animal malade.
Il existe un vaccin que l'on pratique dès la huitième semaine. Il consiste en deux injections à un mois d'intervalle. Le rappel se fait tous les ans ou tous les deux ans suivant le risque évalué.
Dans les élevages ou dans les zones à risque, on peut utiliser d'autres protocoles (vacciner plus tôt, dès l'âge de six semaines, et pratiquer trois injections…).

La Législation
La parvovirose canine est un des vices rédhibitoires chez le chien. C'est une des maladies soumise à des obligations légales de la part du vendeur, visant à protéger le client. Si un chiot est vendu malade ou porteur du virus, il doit être rendu et sera intégralement remboursé par le vendeur.
Il existe, pour chaque maladie, un délai de garantie spécifique, correspondant au temps de développement de la maladie. Au delà de ce délai, on ne peut pas prouver que le chien a attrapé la maladie chez le vendeur qui n'est alors plus responsable. Le remboursement n'est alors plus possible.
Un délai d'action en rédhibition de 30 jours permet de porter plainte auprès du vendeur si un certificat de suspicion a été fait par un vétérinaire dans le délai de garantie (5 jours pour la parvovirose), et si la maladie est diagnostiquée de façon définitive.
Le diagnostic doit donc être fait par un vétérinaire dans les cinq jours suivant l'acquisition. Vous pourrez alors,avec ce certificat, lmettre en route votre une en rédhibition.

 Conclusion

La parvovirose canine est une maladie très grave, très contagieuse et rapidement mortelle. Il est donc indispensable de vacciner les chiots dès leur plus jeune âge et de poursuivre cette vaccination toute la vie de l'animal.
En cas de diarrhée chez un chiot nouvellement arrivé, n'hésitez pas à consulter un vétérinaire.

 

 

LE CHIEN LOUP DE SAARLOOS :

·  ORIGINE : Pays-Bas.                                                                                                                                                       

·  UTILISATION :                                                                                                                                                                   

Le Chien-loup de Saarloos n’a pas été élevé en vue d’une prestation de service déterminée ;                                        

 il possède des aptitudes qui lui permettent d’être un chien de compagnie et de famille fidèle et digne de confiance.                               

 

Historique : Leendert Saarloos (1884-1969) aimait la nature et tout spécialement les chiens. Il était cependant d’avis que les chiens étaient trop humanisés et, en sa qualité d’amateur du berger allemand, il avait l’intention de revivifier dans cette race les dispositions naturelles afin d’obtenir un meilleur chien d’utilité. Dans ce but, il croisa le mâle berger allemand Gerard van der Fransenum, un chien de type prussien classique, avec Fleuri, une louve originaire de la branche sibérienne du type européen (1932). Par accouplement des descendants avec le père, il obtint une population de base dont les animaux étaient porteurs de plus d’un quart de sang de loup. Au cours de la phase expérimentale suivante, grâce à une sélection sévère, il créa une nouvelle race, le « chien-loup européen ». Des exemplaires sélectionnés de cette nouvelle race donnant satisfaction comme chiens d’aveugle, on crut en premier lieu que cette race serait apte à cet emploi. Mais un apport augmenté de sang de loup, avec le temps, l’hérédité utilitaire de l’aïlleul Gerard se perdit et il devint évident que cette race était en général peu apte au travail de chien d’utilité et en particulier à celui de chien d’aveugle. Le patrimoine de Leendert Saarloos, non pas un chien d’utilité, mais un chien doté de qualités naturelles, fut reconnu comme race en 1975. En l’honneur de son créateur, on lui donna à l’époque le nom de « chien-loup de Saarloos », distinction bien méritée. Dès lors, c’est la « Nederlandse Vereniging van Saarloosw olfhonden » (association hollandaise du chien de loup de Saar loos) qui fut chargée de défendre les intérêts de cette race, entre autres en rédigeant le nouveau standard qui suit.

 

Aspect général : Le chien-loup de Saarloos est un chien de forte constitution dont l’aspect extérieur (conformation, allures, robe) fait penser à un loup. Il est de construction harmonieuse et a des membres assez longs, mais qui ne donnent pas l’impression que le chien est haut sur pattes. Les caractères sexuels sont prononcés chez les mâles comme chez les femelles.

 

Proportions importantes : Le chien-loup de Saarloos est plus long que haut. Le rapport entre la longueur du museau et celle du crâne est de 1 :1.

 

Comportement / Caractère : Chien vif et débordant d’énergie, de caractère fier et indépendant. Il n’obéit que de sa propre et libre volonté ; il n’est pas soumis. Il est attaché à son maître et au plus haut degré digne de confiance. Envers les étrangers, il est réservé, passablement méfiant. Sa retenue et, dans des situations inconnues, son instinct de fuite semblable à celui du loup sont typiques pour le chien-loup de Saarloos et devraient être maintenues comme particularités de la race. A l’approche d’un chien-loup de Saarloos, les étrangers devraient faire preuve d’une certaine compréhension envers le comportement de ce chien, pour sa réserve circonspecte et pour son instinct de fuite, particularités qu’il porte dans son patrimoine héréditaire. Une approche forcée et indésirable par un étranger peut provoquer la manifestation de l’instinct de fuite. En empêchant cet instinct de se manifester, par exemple en diminuant la liberté de mouvements du chien par une laisse, le chien peut se comporter comme s’il avait peur.

 

Tête : La tête doit rappeler l’impression que fait celle d’un loup et correspondre harmonieusement dans ses dimensions avec le corps. Vue de dessus et de profil, la tête a la forme d’un coin. La ligne qui va du museau à l’arcade zygomatique bien développée est très caractéristique. Conjointement à la forme adéquate et la position des yeux, cette ligne donne l’aspect recherché semblable à celui d’un loup.

 

Région Crânienne :

 

·  Crâne : Il est plat et large ; en ce qui concerne sa largeur, il faut mettre en garde contre une largeur exagérée qui porterait atteinte à sa forme en coin typique. L’os occipital et le pourtour de l’orbite ne doivent pas être trop visibles ; l’arcade sourcilière doit se fondre sans heurt avec le crâne.

 

·  Stop : La dépression naso-frontale est peu marquée.

Région Faciale :

 

·  Truffe : Bien pigmentée.

 

·  Museau : Fort. Le chanfrein est droit.

 

·  Lèvres : Bien jointives.

 

·  Mâchoires/dents : Les mâchoires supérieure et inférieure, bien développées, présentent une denture solide et un articulé en ciseaux complet, qui n’est acceptable que s’il est bien ajusté. En comparaison avec le crâne, la mâchoire supérieure ne doit pas paraître grossière : un museau trop grossier altère la forme typique semblable à celle du loup. La mâchoire inférieure n’a rien de remarquable.

 

·  Yeux : De préférence de couleur jaune, en forme d’amande, placés légèrement obliquement, pas proéminents ni ronds, les paupières étant bien appliquées sur le globe oculaire. L’expression est attentive, réservée il est vrai, mais pas craintive. L’oeil est très caractéristique de la race et souligne l’aspect recherché de ressemblance avec le loup. L’expression recherchée n’est obtenue que par un oeil de couleur claire. Il faut accorder une grande importance à la couleur, la forme et la bonne position de l’oeil. Chez le sujet plus âgé, la couleur jaune de l’oeil peut devenir plus foncée, mais le ton jaune d’origine persiste à travers elle. Une prédisposition à la couleur brune est moins recherchée. L’orbite se fond imperceptiblement dans le crâne. Une orbite trop marquée conjointement à une arcade sourcilière accentuée et un stop marqué sont des défauts.

 

·  Oreilles : De grandeur moyenne, charnues, triangulaires avec une extrémité arrondie ; leur face interne est couverte de poil. Les oreilles sont attachées à hauteur de l’oeil. Elles sont très mobiles et expriment l’humeur et les émotions du chien. Les oreilles trop en pointe et attachées trop haut sont des défauts. Les oreilles attachées trop latéralement altèrent la forme typique de la tête et sont de ce fait moins recherchées.

 

Cou : Sec et bien musclé ; il se fond en ligne harmonieuse avec le dos ; de même, la ligne de la gorge se fond sans heurt avec le poitrail. En hiver, surtout grâce au poil de saison, le cou peut s’orner d’une belle collerette. Le fanon est minimal et ne frappe pas le regard. Il est caractéristique que, chez le chien-loup de Saarloos au petit trot, la tête et le cou forment une ligne presque horizontale.

 

Corps : Le chien-loup de Saarloos est plus long que haut.                                 

·  Dos : Droit et fort.                                                 

·  Côtes : Normalement cintrées.

·  Poitrine : La ligne harmonieuse de la poitrine atteint au maximum le niveau des coudes. Vus de face, le poitrail et l’inter-ars paraissent modérément larges. Il convient d’éviter une région thoracique trop massive, car elle altérerait la silhouette typique qui caractérise ce trotteur-né. La silhouette est plutôt élancée et très semblable à celle du loup.

·  Ligne du dessous : Tendue et légèrement remontée.

 

Queue : Elle est large à sa naissance et abondamment pourvue de poils ; elle atteint au moins le niveau du jarret. Elle semble attachée un peu bas, fait qui est souvent accentué par une légère dépression près de l’attache. La queue est portée légèrement en forme de sabre à presque entièrement droite. Quand le chien est excité ou au trot, elle peut être portée plus haut.

 

Membres :

 

Membres antérieurs : Les antér ieurs sont droits et bien musclés. Les os ne sont pas grossiers et leur section est ovale. Par rapport au corps, les membres sont quelque peu graciles.

 

·  Epaules : Les omoplates sont de largeur et de longueur suffisantes. Elles forment avec la verticale un angle d’environ 30°, un angle normal non exagéré.

 

·  Bras : De même longueur que l’omoplate. Angle entre l’omoplate et le bras normal, pas exagéré.

 

·  Coudes : Bien au corps, sans être serrés contre la poitrine. Vu l’arcure des côtes et la localisation correcte de l’épaule et du bras, l’écartement entre les deux antérieurs est modéré.

 

·  Pieds antérieurs : Pieds de lièvre, bien musclées et cambrés, avec des coussinets fortement développés, ce qui, conjointement au carpe solide et au métacarpe légèrement oblique, assure un assortiment élastique des mouvements. En station, un pied légèrement tourné vers l’extérieur est admis.

Membres postérieurs : La position du bassin est normale. Cependant, à cause de l’attache basse de la queue, qui est fréquemment accentuée par une légère dépression, le bassin donne souvent l’impression d’être plus oblique. Les angles des postérieurs sont en harmonie avec ceux des antérieurs. Les allures légères typiques de la race dépendent dans une grande mesure de la bonne angulation du grasset et du jarret. Le moindre écart empêche le déroulement de ce mouvement typique. Chez le chien en station, les jarrets légèrement clos sont autorisés.

 

·  Cuisses : De longueur et largeur normales, fortement musclée.

 

·  Grassets : Pas exagérément coudé.

 

·  Jarrets : L’angle ne doit pas être exagéré. Les os et les muscles permettent une extension optimale de l’articulation.

 

·  Métatarses : Suffisamment long (pas court), moyennement oblique.

 

·  Pieds postérieurs : Bien développés, bien cambrés.

 

Allures : Le chien-loup de Saarloos est un trotteur typique et endurant aisément capable de franchir de longues distances à sa cadence particulière. Son allure naturelle ne le fatigue guère et rappelle celle du loup. Il se distingue d’autres races par son allure légère très spécifique. Le bon déroulement des mouvements dépend fortement de différents détails de construction corporelle ; avant toute chose, ce sont les angulations entre les différents membres qui exercent la plus forte influence. Au trot franc et dégagé, le chien-loup de Saarloos porte la tête et le cou presque horizontalement ; c’est alors que la position des yeux et la forme cunéiforme de la tête sont caractéristiques. Au trot soutenu, allure typique de la race, le chien ne présente pas une allonge exagérée ; tout comme une poussée trop forte, une allonge exagérée déformerait l’allure typique et légère qui est un modèle idéal de mouvement économe en énergie.

 

Robe :

 

Poil : Le pelage est différent en été et en hiver. En hiver, c’est généralement le sous-poil qui est prédominant ; avec le poil de couverture il forme une fourrure abondante qui couvre tout le corps et dessine autour du cou une collerette bien définie. En été, c’est le poil de couverture qui prédomine sur tout le corps. Des différences de température en automne et en hiver peuvent exercer une grande influence sur le sous-poil; mais la prédisposition à former du sous-poil doit au moins être présente. Il faut que le ventre, la face interne des cuisses et aussi le scrotum soient recouverts de poil.

Couleur : Les couleurs admises sont :

 

·  Sable ou fauve clair à foncé charbonné, dit gris de loup.

 

·  Sable ou fauve clair à foncé ombré de marron, dit brun de forêt ( Bos bruin).

 

·  De crème blanchâtre (sable) clair à blanc. La pigmentation de la truffe, du bord des paupières, des lèvres et des ongles doit être noire chez le chien-loup de Saarloos gris de loup ou blanc, couleur foie chez le sujet « brun de forêt » ou blanc-crème. Le poil de toute la région inférieure du corps, à la face interne des extrémités et dans la région postérieure des culottes est de couleur claire. A la face externe des membres, aussi bien le sujet gris de loup que le sujet « brun de forêt » présentent un poil de couleur foncée. Ils devraient aussi avoir un masque qui souligne l’expression.

 

Taille : La hauteur au garrot du chien-loup de Saarloos varie pour les mâles de 65 à 75 cm, pour les femelles de 60 à 70 cm. De légers écarts vers le haut sont admis.

 

 

Défauts : Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité.

Tête

·  Oeil trop rond, yeux proéminents.

·  Orbite trop fortement accentuée, avec les sourcils qui ne se fondent pas en ligne harmonieuse avec le crâne, ce qui va avec un stop marqué et des yeux trop ronds.

·  Oreilles attachées trop haut ou/et oreilles pointues.

·  Oreilles trop écartées.

Corps

·  Trop descendu, trop court.

Queue

·  Queue enroulée.

·  Queue portée sur le dos.

Membres

·  Ossature des membres trop grossière.

Robe

·  Les couleurs trop peu intenses sont moins recherchées.

·  Mauvaise répartition des poils foncés avec formation d’une selle noire.

 

 

Défauts éliminatoires :

·  Couleurs autres que les couleurs admises.

·  Toute forme d’agressivité.

 

N.B. : Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum.

 

 

 

LE ROTTWEILER :

 

·  ORIGINE : Allemagne.

                                                          ·  UTILISATION : Chien de compagnie, de service et d’utilité.

 

Historique : Le Rottweiler compte parmi les plus anciennes races de chiens. Son origine remonte au temps des Romains. Il était alors un chien de garde et de troupeau. Il escorta les légions romaines lorsqu’elles franchirent les Alpes, protégeant les hommes et menant le bétail. Lorsque les légions s’installèrent dans la région de Rottweil, ces chiens se trouvèrent en contact avec les chiens indigènes et il se produisit des croisements entre les deux variétés. Les principales fonctions du Rottweiler restèrent la garde et la conduite des grands troupeaux ainsi que la défense du maître et de ses biens. La vieille ville impériale de Rottweil finit par lui octroyer son nom : chien de boucher de Rottweil. Les bouchers faisaient l’élevage de ces chiens uniquement en fonction de leurs performances comme chiens d’utilité. Il se développa ainsi au fil des ans une race tout à fait exceptionnelle de chiens de garde et de troupeau, utilisé aussi comme animal de trait. Lorsqu’au début du 20ème siècle la police eut besoin de chiens de service, on testa également le Rottweiler et il s’avéra qu’il était parfaitement bien adapté aux missions d’un chien de police. Il fut officiellement reconnu comme tel en 1910. L’élevage du Rottw eiler est orienté vers un chien débordant de vigueur, noir, aux marques feu bien délimitées, dont l’aspect général massif n’altère aucunement la noblesse et qui se prête tout spécialement à l’emploi comme chien de compagnie, de service et d’utilité.

 

Aspect général : Le Rottweiler est un chien robuste de taille moyenne à grande, ni lourd, ni léger, ni haut sur pattes, ni levretté. De proportions harmonieuses, son aspect trapu et vigoureux laisse présager force, souplesse et endurance.

 

Proportions importantes : La longueur du tronc mesurée de la pointe de l’épaule à la pointe de la fesse ne doit dépasser la hauteur au garrot que de 15% au maximum.

 

Comportement / Caractère : D’humeur aimable et paisible, il aime les enfants ; il est très attaché, obéissant, docile et travaille avec plaisir. Son apparence trahit une robustesse naturelle. Il est sûr de lui, jouit d’un équilibre nerveux parfait et est difficile à impressionner. Il réagit avec beaucoup d’attention à ce qui l’entoure.

 

Tête :

 

Région Crânienne :

 

·  Crâne : De longueur moyenne, large entre les oreilles ; de profil le front est modérément convexe. Protubérance occipitale bien développée, sans saillie prononcée.

 

·  Stop : Bien marqué.

Région Faciale :

 

·  Truffe : Bien développée, plutôt large que ronde, aux narines relativement grandes. Elle est toujours noire.

 

·  Museau : Il ne doit faire ni trop long ni trop court par rapport au crâne. Chanfrein rectiligne à base large, diminuant modérément de largeur d’arrière en avant.

 

·  Lèvres : Noires, bien serrées, commissures labiales fermées. Gencives foncées autant que possible.

 

·  Mâchoires/dents : Mâchoires puissantes et larges, autant l’inférieure que la supérieure. Denture puissante et complète (42 dents). Les incisives supérieures s’articulent en ciseaux sur celles de la mâchoire inférieure.

 

·  Joues : Arcades zygomatiques bien marquées.

 

·  Yeux : De grandeur moyenne, en amande, de couleur brun foncé ; paupières bien appliquées contre la globe oculaire.

 

·  Oreilles : Moyennes, pendantes, triangulaires, très écartées l’une de l’autre et attachées haut. Ramenées sur l’avant et bien accolées, elles font paraître la région crânienne plus large qu’elle ne l’est en réalité.

 

Cou : Puissant, de longueur moyenne, bien musclé, avec profil supérieur du cou légèrement galbe. Il est sec, sans fanon, ni laxité de peau à la gorge.

 

Corps

·  Dos : Droit, puissant et ferme

·  Reins : Court, fort et haut.

·  Croupe : Large, de longueur moyenne, légèrement arrondie. Elle ne doit être ni rectiligne ni avalée.

·  Poitrine : Spacieuse, large et bien descendue (environ 50% de la hauteur au garrot) avec un poitrail bien développé et des côtes bien cintrées.

·  Ventre : Flancs pas retroussés.

 

Queue : En état naturel, horizontale en prolongement de la ligne du dessus ; au repos elle peut être pendante

.

 

Membres :

 

Membres antérieurs :

 

·  Généralités : Vus de face, les membres antérieurs sont droits et non serrés. Vu de profil, l’avant-bras est vertical. L’omoplate forme avec l’horizontale un angle d’environ 45°.

 

·  Epaules : Bien placée.

 

·  Bras : Bien appliqué contre le tronc.

 

·  Avant-bras : Vigoureusement développé et bien musclé.

 

·  Métacarpes : Légèrement élastique, puissant, légèrement incliné

 

·  Pieds antérieurs : Ronds, avec les doigts bien serrés et cambrés. Coussinets fermes. Ongles courts, noirs et solides.

Membres postérieurs :

 

·  Généralités : Vus de derrière, les membres postérieurs sont droits et son serrés. En station libre, les articulations coxo-fémorales, fémorotibiales (grasset) et tibio-tarsiennes (jarret) forment des angles obtus.

 

·  Cuisses : De longueur moyenne, large et fortement musclée.

 

·  Jambes : Longue, puissante et large par sa musculature nerveuse.

 

·  Jarrets : Puissant, correctement angulé. Il ne doit pas être trop droit.

 

·  Pieds postérieurs : Légèrement plus longs que les antérieurs, également avec des doigts forts, cambrés et bien serrés.

 

Allures : Le Rottweiler est un trotteur. A cette allure, le dos reste ferme et relativement immobile. L’allure est harmonieuse, franche, puissante et dégagée, avec une bonne amplitude.

 

Peau : Sur la tête, la peau est bien tendue ; dans des moments de grande attention elle peut former de légères rides sur le front.

 

Robe :

 

Poil : La robe est formée par le poil de couverture et le sous-poil. Le poil de couverture est de longueur moyenne, dur au toucher, lisse et bien serré contre le corps. Le sous-poil ne doit pas dépasser le poil de couverture. Les poils sont un peu plus longs aux membres postérieurs

Couleur : Noire, avec des marques feu bien délimitées d’un ton brun roux soutenu sur les joues, le museau, le dessous du cou, le poitrail, les membres ainsi qu’au-dessus des yeux et en dessous de la racine de la queue.

 

Taille et poids : Hauteur au garrot des mâles : 61 à 68 cm. 61-62 cm : petit ; 63-64 cm moyen ; 65-66 cm : grand (taille souhaitée); 67-68 cm très grand. Poids : 50 kg environ.

 

Défauts : Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité.

·  Aspect général : Léger ou levretté ou haut sur pattes ; ossature faible ; musculature légère.

·  Tête : Tête de chien de chasse ; tête étroite ou légère ou trop courte ou longue ou massive ; front aplati (stop absent ou peu marqué).

·  Museau : Long ou pointu ; nez busqué ou fendu ; chanfrein concave, convexe ou tombant ; truffe claire ou tachée de ladre.

·  Lèvres : Flottantes ou roses ou tachées de ladre ; commissure labiale ouverte.

·  Mâchoires : Mâchoire inférieure étroite.

·  Denture : Articulé en pince.

·  Joues : Par trop saillantes.

·  Yeux : Clairs, trop enfoncés ou à fleur de tête, ronds ; paupières trop lâches.

·  Oreilles : Attachées trop bas ou lourdes ou longues ou flasques ou portées en arrière ou décollées ou les deux étant portées différemment.

·  Cou : Trop long ou mince, peu musclé ; présence de fanon ou de peau de gorge trop lâche.

·  Corps : Trop long ou trop court, étroit.

·  Dos : Trop long, faible ou ensellé, dos de carpe.

·  Croupe : Avalée, ou trop courte, ou trop plate ou trop longue.

·  Poitrine : Cage thoracique à côtes plates ou trop rondes (en tonneau) ou manquant d’ampleur à l’arrière.

·  Queue : Attachée trop haut ou trop bas.

·  Membres antérieurs : Serrés ou pas d’aplomb ; épaule droite ; coudes insuffisamment appliqués contre le corps ou décollés ; bras trop long ou trop court ou insuffisamment oblique ; métacarpe trop fléchi ou trop droit ;doigts écartés ou trop plats ou trop arqués ou déformés ; ongles clairs.

·  Membres postérieurs: 

 Cuisses plates ; jarrets clos, jarrets de vache ou dirigés vers l’extérieur ( en tonneau) ;angles articulaires trop aigus ou trop obtus ; présence d’ergots.

·  Peau : Peau de la tête ridée.

·  Poil : Trop mou ou trop long ou trop court ou ondulé : manque de sous-poil.

·  Couleur : Marques feu de couleur défectueuse ou mal délimitées ou trop étendues.

 

Défauts éliminatoires :

·  Aspect général : Inversion du caractère sexuel marquée ( mâles de type féminin, chiennes de type masculin).

·  Denture :Prognathisme supérieur ou inférieur, arcade incisive déviée ; absence d’une incisive, d’une canine, d’une prémolaire ou d’une molaire.

·  Yeux : Entropion, ectropion, yeux jaunes, yeux de couleur différentes (hétérochromie).

·  Queue : Queue cassée, enroulée, portée fortement déviée latéralement.

·  Poil : Poil nettement trop long ou ondulé.

·  Couleur : Non conforme au noir et feu caractéristique du Rottweiler ; taches blanches.

 

·  Comportement : Chiens peureux, craintifs ou couards, ayant peur du coup de feu, agressifs, exagérément méfiants ou manquant d’équilibre nerveux.

 

 

N.B. : Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum.

 

 

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